
→ → Vous savez que vous avez de la chance que je parle espagnol haha. Pedro Pascal fait de nouveau la couverture d'un magazine hispanophone, cette fois-ci El Icon du journal El Pais. Pour l'occasion, un autre photoshoot très sympa de l'acteur ! L'interview est disponible au complet ici, et voici quelques extraits :
→ →[Sur Wonder Woman : 1984] “Le film se déroule dans les Etats-Unis des années 80, qui étaient marqués par l'avarice capitaliste. C'était un concept contaminé de méchanceté : dépossédé d'humanité, et pourtant toujours attractif et séduisant. Il fallait faire rêver les gens, leur faire penser qu'eux aussi pouvaient devenir riches et avoir du succès. C'est sûr qu'à cette époque, les méchants des films envoyaient un message xénophobe. Aujourd'hui, enfin, c'est l'homme blanc qui peut être le méchant. [...] Trump n'a pas été l'inspiration principale pour mon personnage : pour notre costumière, elle s'est basée sur Gordon Gekko [Michael Douglas dans Wall Street], Patrick Bateman dans American Psycho... tous ces millionaires qui cachaient leur désespoir, leur ambition démesurée et leur masculinité fragile.”
→ →[Sa jeunesse à Madrid] “J'avais 20 ans : la ville m'a tellement plu que je m'y suis installé presque tout de suite. Ma langue principale est l'anglais, j'ai un accent américain, et on peut me prendre pour caucasien. Mais chez moi, il y avait plusieurs différences culturelles par rapport au monde extérieur et je me rappelle que, quand je suis arrivé à Madrid, je me suis senti à l'aise d'une façon dont je ne l'avais été nulle part ailleurs. Je suppose que je n'étais pas conscient des expériences de mon enfance et de mon adolescence, où j'avais appris de nouvelles façon de m'adapter, d'apprendre... au contraire, vivre à Madrid m'a semblé naturel et facile.”
→ →[Sur Wonder Woman : 1984] “Le film se déroule dans les Etats-Unis des années 80, qui étaient marqués par l'avarice capitaliste. C'était un concept contaminé de méchanceté : dépossédé d'humanité, et pourtant toujours attractif et séduisant. Il fallait faire rêver les gens, leur faire penser qu'eux aussi pouvaient devenir riches et avoir du succès. C'est sûr qu'à cette époque, les méchants des films envoyaient un message xénophobe. Aujourd'hui, enfin, c'est l'homme blanc qui peut être le méchant. [...] Trump n'a pas été l'inspiration principale pour mon personnage : pour notre costumière, elle s'est basée sur Gordon Gekko [Michael Douglas dans Wall Street], Patrick Bateman dans American Psycho... tous ces millionaires qui cachaient leur désespoir, leur ambition démesurée et leur masculinité fragile.”
→ →[Sa jeunesse à Madrid] “J'avais 20 ans : la ville m'a tellement plu que je m'y suis installé presque tout de suite. Ma langue principale est l'anglais, j'ai un accent américain, et on peut me prendre pour caucasien. Mais chez moi, il y avait plusieurs différences culturelles par rapport au monde extérieur et je me rappelle que, quand je suis arrivé à Madrid, je me suis senti à l'aise d'une façon dont je ne l'avais été nulle part ailleurs. Je suppose que je n'étais pas conscient des expériences de mon enfance et de mon adolescence, où j'avais appris de nouvelles façon de m'adapter, d'apprendre... au contraire, vivre à Madrid m'a semblé naturel et facile.”
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→ → Les fashion weeks 'physiques' semblent être reparties pour de bon. Habituée de l'événement, on a donc retrouvé Maisie Williams le 29 septembre aux présentations Printemps/Eté 2021 de deux créateurs en compagnie de son amoureux Reuben Selby : Coperni, avec un petit ensemble assez sympa, puis Dior, avec un grand sweat-shirt qui ne me plaît pas beaucoup. Puis le 1er octobre, elle s'est rendue au défilé de la nouvelle collection de Chloe, vêtue d'un petit pull très mignon. Le 3 octobre, elle était présente au défilé Ami Alexandre Mattiussi, avec un autre ensemble tailleur. Et retour du rose dans les cheveux le 6 octobre pour présenter en tant que modèle la première collection de prêt-à-porter de Reuben. Quel couple stylé !
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→ → Le magazine Vogue a réalisé un mini dossier beauté à distance avec plusieurs célébrités, dont Maisie Williams, qui a donc enfilé des boucles d'oreille, bague et collier Cartier et une robe Miu Miu pour l'occasion : son look le plus élaboré pour un appel en visio ! Le magazine a également voulu savoir à quoi l'actrice avait occupé ses journées en attendant la sortie de ses derniers films : son déménagement de Londres pour Paris où elle a appris le français. “Le retour va être difficile, parce qu'il n'y aura personne qui parle français avec moi à Londres. Je pense que je vais devoir parler toute seule.”
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→ → Encore un nouveau shoot de Maisie : la demoiselle a de nouveau été photographiée par son amoureux Reuben Selby, cette fois pour le magazine Interview ; l'interview a, quant à lui, été réalisé par son ami et co-star de New Mutants, Charlie Heaton. Voici quelques extraits traduits, il est au complet ici :
→ →[Son sentiment de liberté suite à la fin de GOT] “Je pense que puisque j'ai vraiment profité de chaque instant, quand ça a été terminé, j'étais prête à faire mes aux revoirs. Il n'y avait aucune partie de moi qui essayait de s'y raccrocher et d'y rester. Et à présent, je me rends compte qu'il y a tellement d'aspects de l'industrie que je n'ai pas encore découvert, et c'est vraiment excitant de rencontrer ces cinéastes, ces producteurs, ces scénaristes qui travaillent sur des choses à différentes échelles, et d'apprendre des choses toutes nouvelles pour moi. Je me suis prête à montrer de nouveaux aspects de moi même.”
→ →[La représentation des femmes devant et derrière la caméra] “J'ai eu une opportunité tellement merveilleuse, de pouvoir jouer des personnages extraordinaires dès le début de ma carrière, et j'ai appris tellement grâce aux femmes qui m'ont précédée, parce que ça voulait dire que j'ai eu une expérience différente et meilleure que certaines d'entre elles. C'est comme de reprendre le flambeau. Mais nous sommes arrivés à un stade où, à moins ce qu'il n'y ait des réalisatrices, des scénaristes femmes, des productrices, qui donnent vie à ces histoires, il y aura toujours une déconnection entre le contenu et la façon dont c'est amené à l'écran. Beaucoup de personnes s'attendent à ce que les actrices fassent tout le travail, de lier tous les trous, de montrer ce que c'est d'être une jeune femme dans une société aujourd'hui. Ce n'est pas grave, mais il y a de très talentueuses scénaristes qui peuvent faire ça, d'incroyables réalisatrices qui peuvent aider à résoudre ce problème.”
→ →[Son sentiment de liberté suite à la fin de GOT] “Je pense que puisque j'ai vraiment profité de chaque instant, quand ça a été terminé, j'étais prête à faire mes aux revoirs. Il n'y avait aucune partie de moi qui essayait de s'y raccrocher et d'y rester. Et à présent, je me rends compte qu'il y a tellement d'aspects de l'industrie que je n'ai pas encore découvert, et c'est vraiment excitant de rencontrer ces cinéastes, ces producteurs, ces scénaristes qui travaillent sur des choses à différentes échelles, et d'apprendre des choses toutes nouvelles pour moi. Je me suis prête à montrer de nouveaux aspects de moi même.”
→ →[La représentation des femmes devant et derrière la caméra] “J'ai eu une opportunité tellement merveilleuse, de pouvoir jouer des personnages extraordinaires dès le début de ma carrière, et j'ai appris tellement grâce aux femmes qui m'ont précédée, parce que ça voulait dire que j'ai eu une expérience différente et meilleure que certaines d'entre elles. C'est comme de reprendre le flambeau. Mais nous sommes arrivés à un stade où, à moins ce qu'il n'y ait des réalisatrices, des scénaristes femmes, des productrices, qui donnent vie à ces histoires, il y aura toujours une déconnection entre le contenu et la façon dont c'est amené à l'écran. Beaucoup de personnes s'attendent à ce que les actrices fassent tout le travail, de lier tous les trous, de montrer ce que c'est d'être une jeune femme dans une société aujourd'hui. Ce n'est pas grave, mais il y a de très talentueuses scénaristes qui peuvent faire ça, d'incroyables réalisatrices qui peuvent aider à résoudre ce problème.”
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→ → Contrairement à l'année dernière, il a été impossible pour Charlotte Hope et ses co-stars de promouvoir The Spanish Princess en assistant à des tapis rouges ou autres séances de questions/réponses... il a fallu se contenter d'une promotion à distance ! Notamment de nouveaux portraits de Charlotte réalisés par DWGH Photography. Ci-dessous, vous trouverez les liens de quelques uns des interviews vidéos et traductions d'extraits d'interviews presse :
• HeyUGuys • uInterview • Black Girl Nerd • TV Guide • The Knockturnal • FOX4 News Kansas City • Paste Magazine • BlackFilmandTV • Review Nation • Yahoo UK • Mundo TKM • Brisa Te Lo Cuenta •
→ →[Time Out Mexico] “J'ai étudié l'histoire de la monarchie, mais de la façon dont ses derniers veulent qu'on la raconte. Tant d'événements impliquant des femmes se sont produits, et on en parle jamais... c'est pour ça que j'aime contribuer à raconter une partie de l'Histoire que les gens ne connaissent pas, par une autre perspective, en racontant l'histoire de Catherine, qui était réellement incroyable. Même si elle est au départ mariée à un roi dont elle était amoureuse, elle va changer, devenir une guerrière, une survivante face à tous les coups bas de la vie. C'est un exemple pour moi : elle doit affronter des situations révoltantes, et d'une certaine manière elle est fragile, mais elle ne le montre jamais, parce qu'elle sait qu'autrement, on ne la prendrait pas au sérieux. Dans son regard, vous voyez du feu et des larmes.”
→ →[Diario Hoy Argentina] “[Elle a su qu'elle voulait être actrice] quand j'avais 6 ans, pendant un exercice à l'école : il fallait faire semblant d'être une autre personne. Je viens d'un petit coin, au milieu de nul part, et je comprenais que c'était le meilleur que je puisse faire. [Des rôles du genre de Myranda dans GOT et Catherine dans TSP] me donnent de la force, me donnent l'impression d'être courageuse, parce que dans la vraie vie je suis timide, je pleure pour un rien... alors ce genre de rôles m'inspirent, comme une version de moi distante. [...] Je ressens toujours de la pression quand je travaille. Tu sais que tu peux tout rater en un instant. Tu relâches la pression tous les jours, pendant que ça tourne, et entre deux prises tu peux réfléchir. [...] [La transformation de Catherine] sa stratégie de survie apparaît face aux obstacles : elle ne perd jamais de vue son envie d'être reine, même si elle a fini par tout perdre : son mari, ses enfants, ses amis...
→ →[Infobae] “Ca me semble malhonnête qu'après des siècles il y ait si peu d'exemples de femmes qui aient été des figures politiques de premier plan. Et surtout, que le public ne connaisse Catherine que par le biais de sa relation avec Henri. TSP a tenté de mettre au premier plan une femme qui méritait d'être l'héroïne de sa propre histoire.[...] Ce qu'il lui ait arrivé m'a vraiment affectée. En particulier ses fausses couches et la perte de ses enfants. On s'est mis à sa place, c'était vraiment difficile.”
→ →[Entertainment Weekly] “[Les derniers jours de tournage] j'étais vraiment malade. Mais ma meilleure qualité d'actrice est ma ténacité. Je ne pense pas être la plus douée, mais je sais que je suis très, très déterminée. A un moment, entre chaque prises je ne faisais que vomir, et tout le monde disait 'On devrait peut-être arrêter pour aujourd'hui,' et je répondais, 'Non putain, on ne va pas s'arrêter, je vais terminer ça.' [Le jour même où ils ont terminé le tournage, le monde entier est passé en mode confinement à cause du covid, et tous les tournages ont été interrompus.]”
→ →[Urgente 24] “Dans la seconde saison, Catherine se rend compte qu'il est de sa responsabilité de concevoir un enfant, mais je ne crois pas que [la maternité] soit quelque chose qui vienne naturellement. Les bébés de la série n'ont pas aimé l'expérience, [chaque fois qu'elle portait un bébé sur le plateau, il se mettait à pleurer].”
→ →[Female First UK] “C'est une histoire très triste, parce que ces deux personnes étaient très, très amoureuses l'une de l'autre ; sans toutes ces circonstances externes, ils auraient eu cette incroyable relation de pouvoir. Et à cause de ces circonstances, ils commencent à se faire du mal, et finissent par ne plus s'aimer du tout.”
→ →[Nine] “J'étais à fond dedans : je me suis entraînée, je courrais sous la pluie, et je me sentais forte. Mais au moment de tourner la scène, c'est là que je me suis le plus amusé. Après avoir passé autant de temps dans un corset - et j'ai tourné pas mal de trucs d'époque -, enfiler une armure et hurler, chevaucher dans la boue... était très libérateur et satisfaisant.”
→ →[Express] “[Elle n'a rien tourné depuis le début de la crise sanitaire], je trouve que ça a l'air dingue. Mes amis qui travaillent en ce moment me disent que c'est mieux que si l'industrie ne fonctionnait plus du tout, mais que ça reste effrayant. Le truc avec les tournages, c'est qu'on a ce sentiment de camaraderie, d'être une équipe, parce que vous allez au front ensemble... et soudainement, tout le monde est dans son coin, et vous ne pouvez pas vous approcher les uns des autres. Bien sûr, je préfèrerais tourner, mais ça reste inquiétant.”
→ →[Everett Post] “Cette saison me fait penser à une histoire de rupture amoureuse très, très honnête, parce que les ruptures sont tellement compliquées. Ce n'est pas aussi simple de juste dire, 'Ok, à plus ! On ne se reverra plus jamais, on ne se parlera plus jamais.' Souvent, vous vous séparez, vous vous remettez ensemble, et vous vous séparez à nouveau et vous réconciliez à nouveau...”
→ →[Parade] “C'est terrifiant pour Catherine. Elle a tout : c'est une grande politicienne, une guerrière et une épouse. Et juste parce qu'elle ne peut pas produire d'héritier mâle, c'est une ratée aux yeux de l'histoire ? Tout ça à cause d'un problème de biologie ? Ca me semble dingue... si elle avait été dans un corps d'homme, elle aurait été le dirigeant le plus puissant au monde.”
→ →[Oprah Mag] “Quand les gens disent que les femmes des films d'époque sont passives et silencieuses, j'ai toujours envie de répondre, tu déconnes ? C'était dur de survivre, surtout pour les femmes. Celles qui y parvenaient devaient être faites d'acier. [...] Je voulais que les parties sombres soient honnêtes. C'est difficile pour moi de voir ces scènes, parce que je ne jouais pas vraiment. Dans ces scènes, je me sentais vraiment mal. Vous pouvez mentir à votre corps, mais au bout d'un moment, il pensera que c'est réel.”
→ →[Backstage] “Je pleure les refus. En général, je pleure comme une hystérique pendant une journée, et je me réveille le lendemain pour recommencer de zéro. C'est la seule façon que je connais de faire ça. Ça me fait mal parce que ces boulots m'intéressaient vraiment. Je n'ai pas de problème avec le fait de faire mon deuil quand je n'ai pas un rôle. Être déçue, triste n'est pas la pire chose au monde. C'est normal d'être triste quand on n'a pas un boulot qu'on voulait, c'est une émotion humaine. Si j'arrive à un point où je me dis 'Et puis merde, j'en ai rien faire,' alors ça veut dire que je devrais arrêter ce métier.”
→ →[Diario Hoy Argentina] “[Elle a su qu'elle voulait être actrice] quand j'avais 6 ans, pendant un exercice à l'école : il fallait faire semblant d'être une autre personne. Je viens d'un petit coin, au milieu de nul part, et je comprenais que c'était le meilleur que je puisse faire. [Des rôles du genre de Myranda dans GOT et Catherine dans TSP] me donnent de la force, me donnent l'impression d'être courageuse, parce que dans la vraie vie je suis timide, je pleure pour un rien... alors ce genre de rôles m'inspirent, comme une version de moi distante. [...] Je ressens toujours de la pression quand je travaille. Tu sais que tu peux tout rater en un instant. Tu relâches la pression tous les jours, pendant que ça tourne, et entre deux prises tu peux réfléchir. [...] [La transformation de Catherine] sa stratégie de survie apparaît face aux obstacles : elle ne perd jamais de vue son envie d'être reine, même si elle a fini par tout perdre : son mari, ses enfants, ses amis...

→ →[Entertainment Weekly] “[Les derniers jours de tournage] j'étais vraiment malade. Mais ma meilleure qualité d'actrice est ma ténacité. Je ne pense pas être la plus douée, mais je sais que je suis très, très déterminée. A un moment, entre chaque prises je ne faisais que vomir, et tout le monde disait 'On devrait peut-être arrêter pour aujourd'hui,' et je répondais, 'Non putain, on ne va pas s'arrêter, je vais terminer ça.' [Le jour même où ils ont terminé le tournage, le monde entier est passé en mode confinement à cause du covid, et tous les tournages ont été interrompus.]”
→ →[Urgente 24] “Dans la seconde saison, Catherine se rend compte qu'il est de sa responsabilité de concevoir un enfant, mais je ne crois pas que [la maternité] soit quelque chose qui vienne naturellement. Les bébés de la série n'ont pas aimé l'expérience, [chaque fois qu'elle portait un bébé sur le plateau, il se mettait à pleurer].”
→ →[Female First UK] “C'est une histoire très triste, parce que ces deux personnes étaient très, très amoureuses l'une de l'autre ; sans toutes ces circonstances externes, ils auraient eu cette incroyable relation de pouvoir. Et à cause de ces circonstances, ils commencent à se faire du mal, et finissent par ne plus s'aimer du tout.”
→ →[Nine] “J'étais à fond dedans : je me suis entraînée, je courrais sous la pluie, et je me sentais forte. Mais au moment de tourner la scène, c'est là que je me suis le plus amusé. Après avoir passé autant de temps dans un corset - et j'ai tourné pas mal de trucs d'époque -, enfiler une armure et hurler, chevaucher dans la boue... était très libérateur et satisfaisant.”
→ →[Express] “[Elle n'a rien tourné depuis le début de la crise sanitaire], je trouve que ça a l'air dingue. Mes amis qui travaillent en ce moment me disent que c'est mieux que si l'industrie ne fonctionnait plus du tout, mais que ça reste effrayant. Le truc avec les tournages, c'est qu'on a ce sentiment de camaraderie, d'être une équipe, parce que vous allez au front ensemble... et soudainement, tout le monde est dans son coin, et vous ne pouvez pas vous approcher les uns des autres. Bien sûr, je préfèrerais tourner, mais ça reste inquiétant.”
→ →[Everett Post] “Cette saison me fait penser à une histoire de rupture amoureuse très, très honnête, parce que les ruptures sont tellement compliquées. Ce n'est pas aussi simple de juste dire, 'Ok, à plus ! On ne se reverra plus jamais, on ne se parlera plus jamais.' Souvent, vous vous séparez, vous vous remettez ensemble, et vous vous séparez à nouveau et vous réconciliez à nouveau...”
→ →[Parade] “C'est terrifiant pour Catherine. Elle a tout : c'est une grande politicienne, une guerrière et une épouse. Et juste parce qu'elle ne peut pas produire d'héritier mâle, c'est une ratée aux yeux de l'histoire ? Tout ça à cause d'un problème de biologie ? Ca me semble dingue... si elle avait été dans un corps d'homme, elle aurait été le dirigeant le plus puissant au monde.”
→ →[Oprah Mag] “Quand les gens disent que les femmes des films d'époque sont passives et silencieuses, j'ai toujours envie de répondre, tu déconnes ? C'était dur de survivre, surtout pour les femmes. Celles qui y parvenaient devaient être faites d'acier. [...] Je voulais que les parties sombres soient honnêtes. C'est difficile pour moi de voir ces scènes, parce que je ne jouais pas vraiment. Dans ces scènes, je me sentais vraiment mal. Vous pouvez mentir à votre corps, mais au bout d'un moment, il pensera que c'est réel.”
→ →[Backstage] “Je pleure les refus. En général, je pleure comme une hystérique pendant une journée, et je me réveille le lendemain pour recommencer de zéro. C'est la seule façon que je connais de faire ça. Ça me fait mal parce que ces boulots m'intéressaient vraiment. Je n'ai pas de problème avec le fait de faire mon deuil quand je n'ai pas un rôle. Être déçue, triste n'est pas la pire chose au monde. C'est normal d'être triste quand on n'a pas un boulot qu'on voulait, c'est une émotion humaine. Si j'arrive à un point où je me dis 'Et puis merde, j'en ai rien faire,' alors ça veut dire que je devrais arrêter ce métier.”
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→ → Pour compléter cette promotion, il manquait un photoshoot, c'est maintenant rattrapé ! Charlotte Hope a en effet été photographiée et interviewée pour Rose & Ivy Journal. L'interview est disponible au complet ici, et voici quelques extraits :
→ →[L'humour comme thérapie] “Ma psy et moi nous rions beaucoup : dès que j'arrive pour la session, elle me demande quels sont les scénarios, et cinq minutes plus tard on en rigole. Elle dit que c'est un bonus. Je pense que c'est typiquement anglais de rire face à des moments difficiles. C'est assez sombre, mais je me rappelle que quand j'ai perdu ma grand-mère, mon père nous avait conduit à l'hôpital pour qu'on lui rende visite une dernière fois. Et on riait. Il disait que c'était important de rire même dans les moments sombres, sinon les choses étaient trop dures. Dans un podcast que j'écoutais ce matin, ils disaient que c'était important pour la capacité humaine de ressentir les traumatismes, les moments sombres, et dix minutes plus tard de le faire sortir de notre système, et de ressentir à nouveau la lumière. On a cette capacité incroyable de survie quand les choses sont vraiment difficiles. Je suis quelqu'un de très émotif, ce dont je suis reconnaissante, parce que je ressens tout. Même quand je pleure, je sais que dans une dizaine de minutes je me sentirais bien à nouveau.”
→ →[Sa préparation pour le rôle de Catherine cette seconde saison] “C'est une femme qui a perdu plusieurs enfants - fausses couches, mort-nés, morts en bas âge... ; elle traverse un divorce, un c½ur brisé, et ça me semble assez moderne comme histoire. Raconter l'histoire d'une personne qui a traversé autant d'infertilité, et les conséquences que ça a sur une relation, est quelque chose que j'ai vu chez plusieurs amis. Ils ont tenté des inséminations artificielles, ce qui leur a coûté émotionnellement et financièrement... Ca mets une pression énorme dans une relation. J'ai beaucoup lu, dont un livre incroyable, Notes to Self d'Emily Pine, où elle mentionne combien elle voudrait avoir un bébé, mais qu'elle en est incapable. J'en parlais aussi à Georgie (Henley) la nuit dernière, et elle a dit qu'elle n'a jamais vu autant de temps dédié à l'écran à l'épreuve que c'est. Mais c'est une épreuve, et beaucoup de femmes la connaissent. Ca me semblait important d'en parler. [...] Quand j'y pense, j'ai 28 ans, j'aimerais me marier, avoir une relation dans laquelle je me sente bien, j'aimerais avoir des enfants... mais je ne sais pas si ce sera possible, parce que j'ai le syndrome des ovaires polykystiques ; c'est une question qui a toujours été dans le fond de mon esprit, que ça pourrait être difficile pour moi de tomber enceinte. J'aimerais aussi continuer à être actrice, et j'aimerais trouver une balance entre tout ça.”
→ →[L'humour comme thérapie] “Ma psy et moi nous rions beaucoup : dès que j'arrive pour la session, elle me demande quels sont les scénarios, et cinq minutes plus tard on en rigole. Elle dit que c'est un bonus. Je pense que c'est typiquement anglais de rire face à des moments difficiles. C'est assez sombre, mais je me rappelle que quand j'ai perdu ma grand-mère, mon père nous avait conduit à l'hôpital pour qu'on lui rende visite une dernière fois. Et on riait. Il disait que c'était important de rire même dans les moments sombres, sinon les choses étaient trop dures. Dans un podcast que j'écoutais ce matin, ils disaient que c'était important pour la capacité humaine de ressentir les traumatismes, les moments sombres, et dix minutes plus tard de le faire sortir de notre système, et de ressentir à nouveau la lumière. On a cette capacité incroyable de survie quand les choses sont vraiment difficiles. Je suis quelqu'un de très émotif, ce dont je suis reconnaissante, parce que je ressens tout. Même quand je pleure, je sais que dans une dizaine de minutes je me sentirais bien à nouveau.”
→ →[Sa préparation pour le rôle de Catherine cette seconde saison] “C'est une femme qui a perdu plusieurs enfants - fausses couches, mort-nés, morts en bas âge... ; elle traverse un divorce, un c½ur brisé, et ça me semble assez moderne comme histoire. Raconter l'histoire d'une personne qui a traversé autant d'infertilité, et les conséquences que ça a sur une relation, est quelque chose que j'ai vu chez plusieurs amis. Ils ont tenté des inséminations artificielles, ce qui leur a coûté émotionnellement et financièrement... Ca mets une pression énorme dans une relation. J'ai beaucoup lu, dont un livre incroyable, Notes to Self d'Emily Pine, où elle mentionne combien elle voudrait avoir un bébé, mais qu'elle en est incapable. J'en parlais aussi à Georgie (Henley) la nuit dernière, et elle a dit qu'elle n'a jamais vu autant de temps dédié à l'écran à l'épreuve que c'est. Mais c'est une épreuve, et beaucoup de femmes la connaissent. Ca me semblait important d'en parler. [...] Quand j'y pense, j'ai 28 ans, j'aimerais me marier, avoir une relation dans laquelle je me sente bien, j'aimerais avoir des enfants... mais je ne sais pas si ce sera possible, parce que j'ai le syndrome des ovaires polykystiques ; c'est une question qui a toujours été dans le fond de mon esprit, que ça pourrait être difficile pour moi de tomber enceinte. J'aimerais aussi continuer à être actrice, et j'aimerais trouver une balance entre tout ça.”
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→ → Emilia fait également partie des mentors du programme Through Her Lens, The Tribeca CHANEL Women's Filmmaker Program pour promouvoir des femmes réalisatrices, scénaristes... débutantes et/ou indépendantes dans l'industrie. L'événement s'est déroulée sur trois jours, plus d'infos ici ! Quelques nouveaux interviews de la belle sont sortis pour l'occasion :
→ →[Vogue] “Mon agent m'a appelée et m'a parlé de Through Her Lens. Dès que j'ai su ce que c'était, je me suis, 'Bon sang, ouais ! J'en suis !' J'ai fait partie d'un panel de jurés pour le BFI l'année dernière, et c'était très satisfaisant et incroyable. Je me soucie vraiment de faire entendre de nouvelles voix, surtout celles des femmes, alors je n'y ai pas réfléchi à deux fois. C'est drôle, parce que vous vous demandez, qu'est-ce que j'apporte ? Quelles expériences puis-je partager, des expériences qui seraient utiles pour un nouveau venu dans l'industrie ? Parce que bon dieu, j'aurais aimé avoir un mentor ! Je pense que quand vous êtes une femme, vous avez une expérience assez singulière. Et je pense que c'est vraiment essentiel qu'en tant que femmes, on échange là-dessus. [...] J'ai beaucoup travaillé pour la charité que j'ai créé, Same You. C'était vraiment génial et satisfaisant. On a créé un centre de réhabilitation en ligne, et ça va aider tellement de personnes. On avait besoin des restrictions entraînées par le covid pour créer ça. Je produis beaucoup également, alors il y a eu pas mal de boulot de développement. Pour la première fois de ma vie, j'ai eu, en quelque sorte, un travail de bureau... sauf que le bureau, c'est ma maison, et la pause déjeuner, c'est ma cuisine.”
→ →[The Hollywood Reporter] “J'ai bien une chose à dire, c'est que ces dames n'ont pas besoin de moi. Elles ont pas du tout besoin d'aide, elles assurent. La qualité de leur travail est impressionnante. Franchement, c'est moi qui devrais remercier Tribeca, parce que je peux lire les projets de la prochaine génération de talentueuses cinéastes. C'est super. Elles sont tellement talentueuses. C'est irréel. J'ai le sentiment de rencontrer des gens qui sont sur le point de se lancer, et qui vont bientôt avoir un succès fou.”
→ →[Variety] “Je voulais être productrice, parce que j'ai passé beaucoup de temps dans d'énormes machines où j'avais certes un rôle très satisfaisant, mais j'avais le sentiment de manquer certains aspects et certains domaines. [...] Plus les films sont petits, et plus vous êtes connus, vous pouvez faire entendre votre voix, mais pas au début. Ca a laissé un trou en moi : je veux faire partie de ceux qui racontent l'histoire dans son intégralité. Je veux être sur le plateau, connaître la raison pour laquelle ce scénario a été porté à l'écran. [...] Les histoires qui m'intéressent sont celles qu'on ne voit pas, les cultures qu'on ne connaît pas. Si vous leur donnez une chance d'être l'histoire, alors ça m'intéresse, alors il y a un tout nouveau jour dessus.”
→ →[Vogue] “Mon agent m'a appelée et m'a parlé de Through Her Lens. Dès que j'ai su ce que c'était, je me suis, 'Bon sang, ouais ! J'en suis !' J'ai fait partie d'un panel de jurés pour le BFI l'année dernière, et c'était très satisfaisant et incroyable. Je me soucie vraiment de faire entendre de nouvelles voix, surtout celles des femmes, alors je n'y ai pas réfléchi à deux fois. C'est drôle, parce que vous vous demandez, qu'est-ce que j'apporte ? Quelles expériences puis-je partager, des expériences qui seraient utiles pour un nouveau venu dans l'industrie ? Parce que bon dieu, j'aurais aimé avoir un mentor ! Je pense que quand vous êtes une femme, vous avez une expérience assez singulière. Et je pense que c'est vraiment essentiel qu'en tant que femmes, on échange là-dessus. [...] J'ai beaucoup travaillé pour la charité que j'ai créé, Same You. C'était vraiment génial et satisfaisant. On a créé un centre de réhabilitation en ligne, et ça va aider tellement de personnes. On avait besoin des restrictions entraînées par le covid pour créer ça. Je produis beaucoup également, alors il y a eu pas mal de boulot de développement. Pour la première fois de ma vie, j'ai eu, en quelque sorte, un travail de bureau... sauf que le bureau, c'est ma maison, et la pause déjeuner, c'est ma cuisine.”
→ →[The Hollywood Reporter] “J'ai bien une chose à dire, c'est que ces dames n'ont pas besoin de moi. Elles ont pas du tout besoin d'aide, elles assurent. La qualité de leur travail est impressionnante. Franchement, c'est moi qui devrais remercier Tribeca, parce que je peux lire les projets de la prochaine génération de talentueuses cinéastes. C'est super. Elles sont tellement talentueuses. C'est irréel. J'ai le sentiment de rencontrer des gens qui sont sur le point de se lancer, et qui vont bientôt avoir un succès fou.”
→ →[Variety] “Je voulais être productrice, parce que j'ai passé beaucoup de temps dans d'énormes machines où j'avais certes un rôle très satisfaisant, mais j'avais le sentiment de manquer certains aspects et certains domaines. [...] Plus les films sont petits, et plus vous êtes connus, vous pouvez faire entendre votre voix, mais pas au début. Ca a laissé un trou en moi : je veux faire partie de ceux qui racontent l'histoire dans son intégralité. Je veux être sur le plateau, connaître la raison pour laquelle ce scénario a été porté à l'écran. [...] Les histoires qui m'intéressent sont celles qu'on ne voit pas, les cultures qu'on ne connaît pas. Si vous leur donnez une chance d'être l'histoire, alors ça m'intéresse, alors il y a un tout nouveau jour dessus.”
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→ → Pour conclure la première partie des nouvelles d'octobre, encore un photoshoot ! Joe Dempsie est la vedette du dernier numéro de Schön!Magazine dans le cadre de la promotion de sa nouvelle minisérie, Adult Materials qui débute ce mois-ci sur Channel 4. Vous pouvez lire l'interview en entier ici, et voici quelques extraits :
→ →[Ses rôles dans Skins et GOT, et l'impact de ces deux séries] “[Il aurait été incapable de prévoir le succès que ces séries ont eu], quand j'y repense, je suis vraiment reconnaissant d'avoir fait partie de ces séries dès leurs débuts, parce qu'il y avait une sorte de naïveté qui se dissipe dès qu'une série commence à avoir du succès. J'ai vraiment de bons souvenirs de Skins et Thrones. Je suppose que le succès de Game of Thrones n'était pas aussi surprenant, parce que dès la saison un, tu sais que tu bosses sur HBO, qui depuis des années avait monté la barre très haut en termes de “Prestige TV,” et c'était clair qu'ils avaient mis beaucoup d'argent là-dessus. Mais quand même... cette échèle de succès ? Même le plus optimiste de leur équipe n'aurait pu prévoir ça.”
→ →[Ce qui l'a attiré dans ce nouveau rôle] “J'étais intrigué par la description de Rich, le développement familial. C'est un type assez ordinaire en surface, c'est une famille ordinaire avec des problèmes auxquels on peut tous s'identifier. Le job d'Hayley/Jolene leur donne un détour particulier, mais qui finit par créer des défis assez uniques. Je voulais explorer la façon dont vous pouvez maintenir une relation aimante et de confiance, comment vous restez un bon parent quand l'un de vous couche avec d'autres personnes devant une caméra pour gagner de l'argent, de l'argent qui vous assure le toit au-dessus de votre tête et les habits sur votre dos. Comment toutes ces choses peuvent vous faire sentir, comment elles affectent votre moralité.”
→ →[Ses rôles dans Skins et GOT, et l'impact de ces deux séries] “[Il aurait été incapable de prévoir le succès que ces séries ont eu], quand j'y repense, je suis vraiment reconnaissant d'avoir fait partie de ces séries dès leurs débuts, parce qu'il y avait une sorte de naïveté qui se dissipe dès qu'une série commence à avoir du succès. J'ai vraiment de bons souvenirs de Skins et Thrones. Je suppose que le succès de Game of Thrones n'était pas aussi surprenant, parce que dès la saison un, tu sais que tu bosses sur HBO, qui depuis des années avait monté la barre très haut en termes de “Prestige TV,” et c'était clair qu'ils avaient mis beaucoup d'argent là-dessus. Mais quand même... cette échèle de succès ? Même le plus optimiste de leur équipe n'aurait pu prévoir ça.”
→ →[Ce qui l'a attiré dans ce nouveau rôle] “J'étais intrigué par la description de Rich, le développement familial. C'est un type assez ordinaire en surface, c'est une famille ordinaire avec des problèmes auxquels on peut tous s'identifier. Le job d'Hayley/Jolene leur donne un détour particulier, mais qui finit par créer des défis assez uniques. Je voulais explorer la façon dont vous pouvez maintenir une relation aimante et de confiance, comment vous restez un bon parent quand l'un de vous couche avec d'autres personnes devant une caméra pour gagner de l'argent, de l'argent qui vous assure le toit au-dessus de votre tête et les habits sur votre dos. Comment toutes ces choses peuvent vous faire sentir, comment elles affectent votre moralité.”
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